La France investit beaucoup moins dans la prévention que ses voisins. Et ce pour une raison simple qui tient aux méthodes de gestion de la Sécurité sociale. Chronique par Cécile Philippe, présidente de l’Institut économique Molinari, publiée dans Les Échos. Nos politiques sont aux abois. Il faut coûte que coûte trouver de nouvelles ressources pour combler des déficits sociaux qui, en dépit de très nombreux plans de redressement, n’en finissent pas…
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Augmenter la taxe GAFAM ne renforcera pas notre souveraineté numérique. Cette mesure finira par peser, au bout du compte, sur les consommateurs français et masque le vrai problème : l’Europe manque de 19.000 milliards d’euros de capitalisation pour financer l’innovation. Texte d’opinion par Nicolas Marques, directeur général de l’Institut économique Molinari, publié dans Les Échos. En ces temps d’instabilité politique, taxer redevient le plus petit dénominateur commun à défaut d’avoir fait de vraies…
→ Lire la suiteAlors que la France s’enfonce dans un déficit public persistant, le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2026 révèle le vrai cœur du réacteur budgétaire : les dépenses sociales et les retraites. Interview avec Nicolas Marques, directeur général de l’Institut économique Molinari, publié dans Atlantico. Pourquoi le PLFSS est-il devenu, plus encore que le budget de l’État, le vrai cœur du réacteur de la crise budgétaire française…
→ Lire la suite30/10/2025, BFM Business, Le 18/19 de Guillaume Paul Nicolas Marques rappelle que la France a été plus dure d’un point de vue réglementaire et plus gourmande d’un point de vue fiscal que les autres pays, ce qui a laminé notre industrie. La fiscalité de production, qui se surajoute aux impôts traditionnels, est une fiscalité qui joue contre la production et incite les entreprises à produire ailleurs. Déconnectée des résultats, elle est particulièrement…
→ Lire la suite30/10/2025, BFM Business, Le 18/19 de Guillaume Paul Nicolas Marques rappelle que la fiscalité ciblant les entreprises est au final acquittée par les ménages. Lorsque les clients sont captifs, ce sont eux qui supportent les taxes, qui sont répercutées dans les prix de vente, conformément au mécanisme d’incidence fiscale décrit par Adam Smith dès 1776 ou Jean-Baptiste Say dès 1820. C’est exactement ce qui se passe avec la taxe GAFA, répercutée intégralement…
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