Europe1, Europe soir 14/01/2023, Pierre de Vilno avec Nicolas Marques Nicolas Marques défend une réforme structurelle adaptant les retraites à la démographie. Il rappelle que le vrai enjeu devrait être d’adapter la France à la fin du baby-boom et à la baisse structurelle de la fécondité. Il faudrait provisionner les retraites des fonctionnaires pour éviter qu’elles soient exclusivement financées par le contribuable. Placer et s’appuyer sur les marchés financiers permettrait…
→ Lire la suitePresse
Il y a bien longtemps qu’il aurait fallu épauler la répartition avec une dose de capitalisation collective pour diminuer le coût exorbitant du financement du système actuel. Mais il n’est pas trop tard pour bien faire. Texte d’opinion par Cécile Philippe et Nicolas Marques, respectivement présidente et directeur général de l’Institut économique Molinari, publié dans Contrepoints. Si la réforme 2023 des retraites ne tue pas toute velléité de préparer la…
→ Lire la suiteFranceInfo, 11/01/2023 les informés Patrice Moyon, chroniqueur économique et social, éditorialiste de Ouest-France explique qu’il faut faire cette réforme car il existe un déficit budgétaire. Il s’appuie sur une étude de l’Institut économique Molinari rappelant que les retraites des fonctionnaires représentent 1/3 du déficit public depuis 2002. Cet aspect est passé sous silence par le Conseil d’orientation des retraites, qui ne prend en compte que les déficits de la répartition, les fonctionnaires…
→ Lire la suiteRadio Classique, 11/01/2023, la matinale économique Nicolas Marques de l’Institut économique Molinari souligne que la réforme – nécessaire mais insuffisante – a deux angles morts. L’Etat employeur n’a rien mis de côté pour financer les 2770 milliards d’euros de pensions qu’il a promis à ses employés et anciens employés. Dans le privé, comme la démographie n’est plus là, c’est impossible d’avoir des retraites généreuses. Pour aller plus loin, lisez nos…
→ Lire la suiteFranceInfo, 11/01/2023 les informés Patrice Moyon, chroniqueur économique et social, éditorialiste de Ouest-France explique qu’il faut faire cette réforme car il existe un déficit budgétaire. Il s’appuie sur une étude de l’Institut économique Molinari rappelant que les retraites des fonctionnaires représentent 1/3 du déficit public depuis 2002. Cet aspect est passé sous silence par le Conseil d’orientation des retraites, qui ne prend en compte que les déficits de la répartition, les fonctionnaires…
→ Lire la suite







